La Fin De LAventure Avec Ma Salope De Belle-Mère (Suite 5)
La fin de laventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Avant mon mariage, la relation avec ma belle-mère avait duré plus dun an avec elle, javais appris à me servir de mon sexe afin de contenter toutes les salopes de la terre entière. Elle avait fait de moi un homme un vrai, elle était ma salope. Je ne lavais pas cherché, ce fut ma femme qui mavait donné à sa mère. En effet, à cette époque, je travaillais du matin, ne voulant pas que je sorte les après-midis, Lili menvoyait chez sa mère en attendant quelle rentre du travail. Jarrivais donc vers treize heures chez Sophie, les deux femmes me servaient mon déjeuner puis Lili repartait au boulot. Nous profitions donc de toute laprès-midi pour faire lamour. Sophie me traitait comme un prince, elle minstallait au salon afin que je puisse faire une petite sieste pendant quelle débarrassait et allait se préparer en enfilant des tenues érotiques dont je raffolais. Elle venait ainsi me rejoindre en apportant mon café que je buvais en ladmirant faire ses poses plus ou moins subjectives. Le striptease quelle faisait que pour moi, les petits baisers quelle me faisait, mexcitait au plus haut point et me mettait dans un état dérection maximum.
Près dun an sétait passé depuis mon mariage, nous avions au moins deux relations sexuelles par semaine, ma belle-mère et moi. Ce jour-là, après la sieste bien méritée, elle était venue devant moi, me déshabillait lentement tout en me caressant et membrassant sensuellement. Il ne me fallait pas longtemps pour me préparer à la débauche. Ses mains étaient tellement douces, ses lèvres tellement gourmandes, quelle humidifiait avec sa salive me parcourant tout le corps pendant de longues minutes et son savoir-faire, faisaient de moi son esclave. Tous ces préliminaires me faisaient bander comme ce nest pas permis.
Après une vingtaine de minutes à ce rythme, elle aimait me faire ce quelle appelait « ma gâterie », elle ne voulait pas que je moccupe delle, tant quelle ne mavait pas donné du plaisir par cette fellation quelle seule savait me faire.
Cétait à son tour de recevoir toutes mon intention, elle sallongeait et attendait que je la dénude patiemment puis comme elle me lavait fait une demi-heure avant, je parcourais son corps de mes mains et ma bouche, jaimais lui prendre les seins en les malaxant lentement, pendant que je jouais avec les tétons durcis par le désir que je prenais entre mes dents. Je devinais quelle était trempée dexcitation, je passais dun sein à lautre puis lentement je descendais mes deux mains sur son ventre plat bien entretenu par ses séances dabdominaux quelle faisait régulièrement, où je mattardais en coiffant de mes doigts, ses poils pubiens très bien entretenus.
Lorsque je mapercevais quelle montait son bassin, en se poussant de ses pieds et de ses épaules, je devais ne plus tarder à moccuper de son vagin quelle me tendait. Japprochais alors mon visage de son entrejambe quelle écartait au maximum afin que je puisse glisser ma tête entière entre ses cuisses. De ma langue, je léchais ses lèvres de lextérieur à lintérieur, du bas en haut, puis de mes doigts, pendant que ma langue sattardait sur son anus, je caressais son clitoris.
Que cest bon mon « petit lapin ». Bois-moi.
Je ne me faisais pas prier, je me régalais de sa cyprine mélangée à son éjaculation, qui coulait déjà sur ses cuisses, jessayais de laper tout ce que je pouvais. Jaimais ce goût acidulé, légèrement salé qui sécoulait de son sexe, cétait pour moi mon dessert qui me redonnait de lénergie.
Une heure cétait passée, il était temps pour nous, après nous avoir donné du plaisir mutuellement, de retourner à la cuisine, toujours nus, boire un café afin de reprendre des forces pour létape suivante. Sophie avait une capacité à changer de sujet qui métonnait. Pour ma part, je ne pensais quà son cul, mes pensées nétaient que sexuelles néanmoins, elle me parlait de la pluie du beau temps, de mon travail, de ses amies pour revenir sur ses activités quelle avait avec ses partenaires. Cela devait la mettre en condition, car elle venait se mettre assise sur moi à califourchon en me prenant par le cou pour membrasser sensuellement voire amoureusement. Par de petits mouvements davant en arrière, elle se frottait la raie contre ma queue qui nétait pas insensible, elle reprenait un peu de vigueur mais il en fallait encore un peu plus avant quelle obtienne sa taille optimale. Sophie me connaissait par cur, de sa main gauche, elle me soupesait les bourses qui avait pour effet un bon début dérection.
Javais besoin de beaucoup daffection et Sophie savait men donner, elle membrassait le cou, le torse, les bras et léchait même les aisselles, cela mexcitait, elle ressentait sur son cul la puissance de ma verge remonter, moi je mapercevais quelle mouillait de nouveau.
16 heures déjà, cela faisait une heure et demi que nous nous caressions, elle se mis assise sur la table en écartant les cuisses, je me suis penché pour lui lécher sa chatte dégoulinante de cyprine tout en enfonçant mon index dans son petit trou, pendant que mon pouce entrait à lintérieur de son vagin quelle écartait de ses deux mains :
Jen peux plus mon petit lapin, je veux ta queue, je veux être ta salope maintenant vient.
Tu es quand même une belle salope Sophie.
Ma belle-mère savait bien quels mots utiliser pour que je bande plus fort, plus dur, elle poursuivit :
Je le sais mon « petit lapin » cest pour toi, vient défonce-moi la chatte. Je te veux en moi.
Jétais en fait prêt, elle était couchée le dos sur la table, les jambes écartées pendantes, ses pieds touchaient à peine le sol, elle soffrait à moi et ma verge. Je métais approché et enfonça mon pénis en totale érection sans sensualité, violemment, je faisais des allers-retours dans son ventre en tapant mes couilles sur la raie de ses fesses :
Oui ! Comme ça ! Je viens !
Tiens salope ! prends ça. Lui dis-je en donnant un grand coup de rein et en restant immobile à lintérieur de ses entrailles. Je ne voulais pas éjaculer maintenant, je nen avais pas fini avec elle :
tarrête pas mon lapin, encore vas-y ! Défonce-moi !
Non ! Lui répondis-je retourne toi, je vais tenculer maintenant.
Je métais retiré, elle était très pressée, elle se coucha les seins aplatis sur la table attendant que je lui perfore le cul quelle me tendait :
Oui mon lapin, prends-moi par-là, défonce moi lanus.
Je me régalais, japprochai mon gland devant le sens interdit en enfonça délicatement celui-ci dans son trou réservé à autre chose quà recevoir mon sexe. Jallais et venais, jenfonçais au fur et à mesure mes 20 centimètres dans son rectum, nous râlions tous les deux de plaisir, elle jouit bien avant moi, sa chatte venait de lâcher toute une quantité de liquide qui en disait long sur son orgasme :
OUI !!!! Mon amour... tu me fais jouir... Ho...OUI !!!
Je ressortis mon membre rouge et veineux encore dur comme du bois et le prenant dans ma main droite, je me branlais pour me finir, je fermais les yeux, javais presque mal davoir attendu aussi longtemps, je brûlais dimpatience tout mon corps sarc-bouta et jéjaculai enfin par de longs jets de sperme qui atterrissaient sur ses fesses, dégoulinant ainsi pour se perdre dans la raie de son cul, si excitant à voir.
Je messuyais le gland sur son cul lorsque Lili et une collègue à elle, nous avaient surpris en arrivant dans la cuisine. En effet, ma femme étant enceinte de huit mois, se sentant mal avait demandé quon la raccompagne plus tôt. Si Lili sétait enfuie pour pleurer dans le canapé du salon, sa mère sétait précipitée dans la salle de bain pour sessuyer et enfiler une robe afin de rejoindre sa fille. Sophie ne savait pas quoi dire à Lili mais essayait de la consoler.
Pendant ce temps, sa jeune collègue était restée debout immobile en me regardant nu comme un ver avec mon pénis encore en érection et encore mouillé par un mélange de sperme et de cyprine :
Excuse-moi Grégoire, nous ne pouvions pas nous imaginer...
Elle ne me regardait pas dans les yeux la petite, son regard ne pouvait pas quitter ma bite quelle fixait avec des yeux ronds comme des billes :
Ce nest pas de ta faute Sylvie, va plutôt me chercher mes vêtements à côté, je ne peux pas pour le moment. Avec regret, elle quitta mon sexe des yeux et sexécuta. Elle mavait tendu mes fringues et me dit à voix basse avec regret : « Je men vais à plus tard. »
Je ne sus jamais ce que la mère et la fille sétaient dites, mais une chose était certaine, nous nétions plus venus chez Sophie et Lili mavait fait la tête jusquà laccouchement. Jamais elle navait voulu que je lui explique quoique ce soit, elle voulait divorcer. Heureusement, larrivée du bébé avait fait le plus grand bien. Les choses ne sétaient pas totalement arrangées, mais après que sa demande de mutation soit acceptée, nous sommes partis vivre à 500 km de chez Sophie. Cétait donc ce jour-là, la dernière fois que javais baisé ma salope de belle-mère que javais adorée.
Depuis, rassurez-vous, jai trouvé dautres bonnes salopes très gentilles et très affectueuses en manque de sexe : Mes voisines.
Mais avant cela, je vous expliquerai ma vie sexuelle depuis le début.
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